Accès aux ressources

Pourquoi : 

parce que les communautés n’ont d’autre choix que de vivre, s’alimenter, se soigner, et qu’elles doivent développer l’autonomie, et mettre en place des projets économiques. Le modèle de société en place est condamné, et il faut trouver le passage vers le modèle qui nous ressemble et nous rassemble.

Quoi : 

rechercher et reproduire les meilleures expériences, notamment en matière de définition et  d’organisation des métiers, de production d’une alimentation saine, d’appropriation de la santé  naturelle, de réinvention de l’entreprise, forcément humaine, ainsi que de conception et de circulation  de la monnaie. L’économie à la base c’est la bonne gestion de la maisonnée, qui s’étend de cercles en  cercles jusqu’à embrasser de grands territoires, et les liant entre eux du fait du verbal et du non verbal  qui accompagnent l’échange purement économique, qui, dès qu’on a dépassé le stade du manger et du  dormir, ne s’intéresse en fait qu’à trouver des prétextes pour faire société. L’écologie, d’ailleurs, c’est à la  base, la science (logos) du maintien de cette maisonnée dans de bonnes conditions, afin que l’économie  puisse persister ou se renouveler.

Comment : 

étudier, débattre, expérimenter, définir des sites d’expérimentation.

Qui : 

tout le monde. Ce sujet vise à mettre chacun à contribution.

Raconter : 

raconter les succès.

  • Autonomie et santé
  • ESS
  • Métiers
  • Fonction achat
  • collectivisée
  • Qualité/quantité
  • Monnaie
  • Entrepreneuriat
  • Client/fournisseur ; décideur/exécutant ; producteur/consommateur

Pourquoi : 

parce que les réseaux sont le mode ordinaire de générer des rencontres. Que mettre place des  communautés demande de l’habileté, de l’empathie, mais aussi une mise en commun de valeurs et  d’habitudes quotidiennes.

Quoi : 

décrire les différents réseaux… Montrer ce qu’est une communauté. Partir de la famille et l’élargir.  Rassembler des éléments du village… et remettre chaque chose à sa place.

Comment : 

apprendre à gérer professionnellement les réseaux. Organiser les rencontres et les mises en lien. Mettre en  place des cercles de réflexion et de préfiguration des communautés. Processus de mise en œuvre des  communautés.

Qui : 

le demandeur de communauté est au centre de la question. C’est lui qui cherche dans son entourage et son  quartier des personnes avec lesquelles partager… Nous formons des accompagnateurs pour mettre en place  le groupe communautaire.

Raconter : 

 la qualité des rencontres, les bonnes idées, les découvertes.

  • Etat du marché télégram (observer analyser)
  • Autres marchés santé
  • Marché International
  • Marché crise économique
  • Talents d’animateur
  • Régles d’administration
  • Liens avec vieux réseaux
    Collaborations interréseaux

Pourquoi : 

nous sommes entrés dans un combat dont l’enjeu central est la vérité, plutôt que la narrative servie par  les médias mainstream. C’est ce même combat que mène la Russie face « au monde civilisé », c’est-à-dire  moins du quart de l’humanité.

Quoi : 

communiquer le plus possible en interne et le mieux possible en externe : tracts, journaux, vidéos,  livres… Nous partageons l’idée que face au big data concentré dans quelques mains, rassemblant toutes  les données des humains, mais aussi du bétail et des objets, nous pouvons mettre en place un « big data  partagé », nourri par les reporters résistants.

Comment : 

former des correspondants, mettre en place ou mobiliser des outils informatiques, organiser des  processus d’enquête sur tout le territoire.

Qui : 

les profils communicants seront recherchés, ceux qui écrivent et ceux qui filment, mais aussi les profils  stables, capables de surveiller quotidiennement une petite zone pour y repérer les « signaux faibles » qui  n’ont de sens qu’une fois concentrés et analysés.

Raconter : 

c’est une belle aventure qui peut redonner beaucoup de sens au métier de journaliste, et qui peut  renouveler la vie et la connaissance de notre environnement.

  • Autonomie journalistique
  • Fédération des projets journalistiques
  • Systèmes informatiques de centralisation de l’information
  • Définir le journaliste résistant
  • Former les journalistes résistants
  • Travailler la poursuite du narratif

Pourquoi : 

parce que le modèle du nouveau totalitarisme est fondé sur le harcèlement plus que sur la guerre, il  convient d’agir avec fermeté et habileté. Nous devons rassembler autour de nous des juristes capables  de nous défendre des nombreuses accusations imbéciles qu’on ne manquera pas de faire sur nos  comptes. Il sera également nécessaire d’installer progressivement des éléments d’administration de nos  communautés et mettre en place des circuits permettant de mettre en place les interlocuteurs les plus  favorables à notre situation au sein du monde systémique et les meilleurs ambassadeurs que nous  pourrons former.

Quoi : 

apprendre la loi, apprendre ceux qui la décident, comprendre ceux qui la font appliquer, apprendre les  meilleures réactions indispensables à la conservation de notre espèce…. Publier des articles intéressants…

Comment : 

étudier, analyser, décider.

Qui : 

les juristes d’un côté, les forces de l’ordre et les militaires de l’autre et toute personne ayant les  compétences requises.

Raconter : 

organiser la solidarité.

  • Partager les données administratives
  • Tisser les contacts avec le monde officiel
  • Defense des communautés vision militaire
  • Liens avec les forces de l’ordre
  • Lutter contre le harcèlement
  • Contourner la loi

Pourquoi : 

parce qu’une gouvernance collective est indispensable et que la démocratie est fondée sur la division,  alors que nous sommes fondés sur un projet, celui d’apprendre, ensemble, à se gouverner, à s’organiser,  à faire société. C’est nouveau, nous n’avons encore jamais vraiment appris ni pratiqué largement cette  forme de gouvernance.

Quoi : 

transposer, dans l’organisation des communautés , les principes de la sociocratie, qui a déjà quarante  années d’existence. Elle fonctionne essentiellement dans les entreprises et les associations, autour d’un  projet. Elle permet de garantir l’expression de chacun. Elle évite la domination d’un seul. Elle met les  équipes sur un pied d’égalité. Elle favorise systématiquement l’unité par la recherche du consentement  obtenu par l’exercice d’une attitude empathique à l’égard de tout opposant, cherchant à comprendre les  raisons du désaccord et à rechercher avec tout le monde l’accord le plus complet.

Comment : 

en apprenant par la pratique au sein des groupes dans un premier temps, puis au cours du  développement des liens entre les communautés. On recourra tout d’abord à des règles simplifiées, pour  ultérieurement se former à ces méthodes dans leur complexité, en se référant au modèle développé par  le cercle de réflexion qui y est dédié. Cette forme d’intelligence collective doit être expérimentée à tous  les niveaux et dans tous les domaines.

Qui : 

mise en place d’une équipe de soutien et d’appui, s’organiser pour tisser des liens avec les différents  lieux, mettre en place un réseau d’humains qui partage ses acquis et ses principes avec l’humanité en  veillant à respecter la nature.

Raconter : 

l’expérience de l’équipe, la mise en place progressive.

  • Connaître la sociocratie
  • Argumenter pourquoi la sociocratie
  • Le projet commun
  • CNV/empathie
  • Mesurer l’avancée de l’idée
  • Contenus pédagogiques
  • Mise en oeuvre des formations.

Pourquoi : 

parce que si nous avons sélectionnés les cinq principaux axes de construction de notre organisation, il  nous faut mettre en place toute la logistique de notre propre infrastructure et préparer tous les  développements futurs qu’il nous sera possible et nécessaire de faire.

Quoi : 

mettre en place le site internet/centre de ressources autour duquel nous nous organisons, prévoir les  éléments de logistique qu’il sera nécessaire de construire demain, réfléchir aux questions techniques  (notamment en matière d’internet et de communication), apprendre à réagir en toutes occasions,  développer une organisation spécifique à la jeunesse, organiser la solidarité internationale, prendre  position dans les grands débats scientifiques.

Comment : 

organiser.

Qui : 

tous ceux qui ont une capacité d’organisation réelle et un souci d’organisation constant.

Raconter : 

donner envie sur des thèmes moins centraux, souvent gérés à un niveau différent de la communauté,  mais indispensable à leur expansion.

  • Veille générale des contraintes (informatique)
  • Surveiller les demandes qui nous sont adressées et nos réponses
  • Finesse/Intelligence réactive
  • Place du commentateur
  • Organisation des acteurs
  • Alliances
  • Jeunesse
  • Moyens
  • International
  • Science
  • Gestion de l’organisation
Souverains et Unis :
Servir les communautés solidaires

Pourquoi : 

parce que les mondialistes atomisent la société en une masse d’individus isolés et s’imaginent pouvoir réduire toute personne à une masse de données sur sa santé, sur ses revenus, son patrimoine, sur son  insertion dans la société, sur ce qu’il consomme, etc. Leur objectif final : l’asservissement et la soumission  totale. Les humains ne peuvent vivre dans ce système aliénant et devront constituer des communautés  solidaires en tissant de vrais liens.

Quoi : 

notre objectif est de réunir entre 6 et 15 familles habitant dans un rayon de 2 km environ en zone  urbaine, de 12 à 25 km (selon la densité) en zone rurale. Souverains et unis se propose de fournir à ces  familles des ressources pour les aider à se rencontrer et à mettre en œuvre les trois principes  fondamentaux que sont la souveraineté, le lien à la nature, et la spiritualité. Elles devront échanger sur  la manière de construire en commun leur solidarité, leur sécurité, leur convivialité, l’approvisionnement,  la santé, l’éducation des enfants, leurs loisirs, leur habitat. Les communautés peuvent être informelles,  se développer dans l’habitat qu’ils occupent déjà, et envisager selon les cas de se rapprocher à l’image du  village d’autrefois.

Comment : 

par la mise en place d’une série de savoirs, de conseils, de processus pour constituer partout ces  communautés solidaires.

Qui : 

la charte est le résumé de ce que nous sommes, ce qui nous motive, ce qui nous attache à la vie, et les  objectifs des groupes donnent des indications contextualisées.

Raconter : 

les joies de la construction en commun. Ces groupes sont l’élément de base de l’organisation nouvelle, à la fois fondée sur ce que les sciences et la technique nous apprennent, et sur un retour à la simplicité, à un  mode de vie traditionnel, avec les joies supplémentaires que la modernité peut apporter.