Accès aux ressources

Sommaire
  • Qui Sommes-nous?
  • Le mot du porteur du projet
  • Nos valeur et notre Charte du mouvement S&U

Une ambition. Portée par des personnes nettement plus variées que toutes celles que l’on nous présente dans la narrative (c’est une manière de parler génériquement des médias), et par des gens toujours à la recherche d’une unité que ceux qui dominent la pensée ne peuvent imaginer.

Individuellement, nous sommes une somme d’expérience dans des domaines variés. D’ordinaire, ces gens ne s’acclimatent pas forcément les uns aux autres, car séparés par la vie sociale et des cadres de référence distincts. Issus de toutes les couches sociales et exerçant les métiers les plus divers, nous sommes parents ou étudiants, techniciens ou cadres ayant eu de hautes responsabilités, employés ou patrons de TPE et PME, artistes ou ingénieurs, ayant vécu une prise de conscience, ou renforcé nos convictions sur les intentions d’un Etat qui ne représente plus personne dans une société réduite à un triste état.

Collectivement, nous avons tous compris qu’un seul cerveau ne peut avoir à la fois les compétences, les connaissances, et la vision à 360°, dont la réunion est pourtant cruciale aujourd’hui. Nous sommes sommes ainsi amenés à réinventer, à partir de ce qui est juste autour de nous, une société privée d’État, une société constituée de communautés souveraines et solidaires. C’est ce qui nous a tous fait grandir, très vite, ces deux dernières années.
Nous avons compris que notre devoir est immense : il s’agit à la fois d’organiser la sécession qu’on nous impose, et en même temps de refuser la division de ce que nous continuons à considérer comme étant notre peuple. Notre souci est d’un commun humain : préserver ce que Dieu et l’histoire ont fait de l’humanité, défendre le vivant comme processus naturel, affirmer notre souveraineté face à une promesse d’esclavage, vivre dans le respect, de tout et de tous, faire de notre volonté commune un modèle de gouvernance unie autour de multiples projets articulés les uns aux autres. Quelque chose qui n’a plus rien à voir avec ce que nous avons vécu et qui refuse haut et fort cette révolution que les quelques milliers de malheureux surpuissants, rongés par l’hubris, qui ont déjà le pouvoir mais en veulent beaucoup plus, c’est-à-dire la reconnaissance de leur supériorité et d’être à l’origine de tout.

Bref, nous organisons les nôtres selon des règles politiques, nous enrichissons les nôtres avec des projets économiques inventifs et empathiques pour tous ceux qui y participent, nous fondons les nôtres dans une volonté de rassembler à la fois les valeurs les plus ancestrales qui sont en nous et les visions les plus exotiques et modernes que nous pouvons observer autour de nous. Ce n’est pas gagné, mais c’est indispensable.

Un ensemble avec des règles simples et saines, expurgées du gloubi-boulga inculqué pendant les décennies qui nous ont conduits au bord de ce précipice habilement déguisé en plan de rétablissement des équilibres écologiques et sociaux sur l’ensemble de la planète. Ce plan auquel croient tous ceux qui ne font pas l’effort d’écouter ce que disent ouvertement les dirigeants officiels ou leurs influenceurs n’est pas le nôtre, nous qui prenons le temps lire et relier les points.

Cet ensemble de personnes est constitué pour accompagner, grâce à l’intelligence collective, la mise en place d’une société simple, franche et belle car elle nous aura permis de vaincre « la bête » de ce misérable « président ».

Les communautés locales sont le principe central qui justifie notre mise en mouvement. Elles rencontreront d’autres mises en mouvement et devront donc s’agglomérer par l’intermédiaire de cercles communs qui pourront se mélanger les uns et les autres en fonction des besoins, constituant progressivement un corps politique autonome très éloigné de celui qui fait le pouvoir de nos sociétés aujourd’hui.
Daniel Jaunas, porteur du projet S&U

Daniel Jaunas, 69 ans, père de 3 enfants

Un garçon curieux de la manière dont fonctionne le monde (52/61). Passionné par l’indépendance algérienne et instruit par l’expérience de Mai 68 (62/71). Rejoint l’illusion marxiste-léniniste et la teste jusqu’au bout (72/81). Pense que l’issue est le nouveau paradigme écologique et découvre ainsi la négation du politique, tout en découvrant l’énergie dispersée par l’effondrement de l’idée communiste (82/91).
Investit dans l’économie administrative (la poste) et dans l’économie alternative (le réas) pour terminer sidéré par le spectacle des tours (92/01). Comprend, depuis l’Algérie, pourquoi le religieux a été vaincu, constate comment le politique est vaincu, et mesure la force de l’économie financière (02/11). Découvre la force et la droiture russe, conserve l’intérêt pour l’inventivité et le pacifisme chinois, et sombre comme toute l’humanité dans un tourbillon apocalyptique (12/21). Face aux difficultés, il est secondé par son épouse, qui a vécu une douzaine d’années dans des pays en voie d’effondrement, en difficulté, diabolisés ou en voie de redressement. Elle apporte et partage un sens pratique de la survie en toutes circonstances.

Charte de Souverains & Unis

Les résistants Souverains et Unis travaillent à la mise en place de communautés locales éveillées, et participent à leur gouvernance partagée.
Rejoignant un groupe proche de chez eux, ils se mettent en mouvement, unissent leurs compétences et leurs forces pour faire face aux menaces du « nouvel ordre mondial » et construire un monde plus juste, solidaire, organisé sur la mobilisation et la responsabilisation de tous les citoyens.

Ensemble, nous nous engageons à :

  • Nous unir loyalement dans la résistance
  • Agir dans le respect d’autrui
  • Respecter la nature et le vivant, prendre soin de soi-même et des autres
  • Veiller à une gouvernance positive et respectueuse du consentement
  • Faire des croyances, des convictions et de la religion de chacun une force du groupe
  • Valoriser les savoir-faire et les savoir-être de chacun et développer le partage de connaissances
  • Bâtir ensemble le monde de demain en se basant sur la recherche de la vérité
  • Tenir jusqu’au bout avec détermination, face à l’intimidation
  • Adopter un mode de vie simple, solidaire et juste
  • Cultiver la joie de vivre et le détachement

Les objectifs

Les territoires sont le lieu d’intervention des résistants, organisés selon trois niveaux : les communautés comprenant de 6 à 15 individus adultes (îlots, une « familles de coeur »?), rassemblées en groupes de 8 à 12 communautés (communauté qui peut partager et communiquer par le biais d’un fil Telegram d’une ville ou d’un quartier, une « solidarité »?), elles-mêmes organisées en territoires rassemblant de 400 à 1000 individus (une « tribu »?). 

1. Veiller à maintenir à un niveau élevé le moral des résistants (les aider à améliorer leurs vision/détachement/don de soi/passion)

2. Maintenir entre tous les résistants des liens conviviaux et solidaires.

3. Organiser l’approvisionnement des communautés en biens indispensables à la survie.

4. Organiser le partage des connaissances et des compétences pour développer l’autonomie des communautés.

5. Mettre en place une économie élémentaire, utilisant des monnaies alternatives autonomes, décentralisées.

6. Organiser la prise en charge de l’éducation des enfants de la communauté, et développer des centres de soin.

7. Diffuser auprès des compatriotes restés sous hypnose les bonnes nouvelles de la vie des communautés et les dangers de la solitude.

8. Diffuser les méthodes actives de gouvernance permettant à tous d’y prendre part.

9. Tisser des liens de connivence avec des membres de la société sortant de l’hypnose, mettre en place des ambassades, organiser la défense juridique des communautés. Les communautés ne sont pas en conflit avec le reste de la société. Elles visent au contraire à permettre la garantie d’un respect minimal aux populations souveraines et pacifiques.